Tapis de contrôle de contamination lavables, comment commencer à les utiliser?

Pour un client qui n’a jamais vu comment fonctionne un tapis de contrôle de contamination lavable fixe, la décision d’en acquérir un peut être un processus difficile. Passer d’un tapis adhésif pelable traditionnel à un tapis lavable implique plusieurs facteurs, dont l’un, en particulier, a tendance à être sous-estimé : le nettoyage du tapis ! Avec un tapis pelable, la saleté, pour ainsi dire, disparaît en un seul geste. Cependant, avec un tapis lavable, il doit être nettoyé, et peut-être plus fréquemment qu’on ne le pense initialement, compte tenu de son efficacité élevée.

En conséquence, un nettoyage quotidien ou planifié, en fonction des horaires, devient une partie intégrante de la fonctionnalité du tapis de contrôle de contamination lavable. Le tapis lavable, associé à son nettoyage, est la clé de ses performances à long terme et de son efficacité.

L’étape intermédiaire vers l’installation d’un tapis de contrôle de contamination fixe peut être réalisée en utilisant le tapis LTE, qui est ultra-mince à 1,5 mm, décontaminant, antibactérien et lavable.

Il existe deux méthodes possibles.

La première méthode consiste en l’utilisation simple d’un tapis LTE plus petit (allant de 60×120 cm à 120×300 cm). Une fois l’efficacité, l’efficience et la praticité ont été confirmées, vous pouvez alors envisager l’utilisation d’un tapis fixe plus grand pour le passage du personnel et des chariots ou des matériaux.

La deuxième approche, de manière alternative et conservatrice, repose sur le fait qu’avec une largeur de 120 cm, il est possible de “joindre” ultérieurement un tapis fixe (CZ ou WZ) pour maximiser la durée de vie du tapis LTE initialement posé (par exemple, 120×180 cm) utilisé comme un test, en partant de l’utilisation d’un tapis pelable.

La transition vers les tapis de décontamination lavables ne doit pas exclure un entretien et un nettoyage quotidiens appropriés, qui doivent être planifiés.

Résultats à différents niveaux :

  • Qualité – HSE (Santé, Sécurité, Environnement) :
    • Maintenance des BPF (Bonnes Pratiques de Fabrication) de nettoyage du sol préexistant.
  • Économique :
    • Réduction des coûts d’achat, d’installation et de retrait des tapis à jeter individuels qui se répèteraient constamment au fil du temps.
    • Amortissement sur la durée (environ 11-12 mois – 1/2 jet par jour) de l’investissement qui se poursuivrait au fil des années.
  • Technique :
    • Incapacité d’avoir des tapis à jeter longs ou de grande taille.
  • Environnemental :
    • Élimination des feuilles de tapis déchirées (considérées alors comme des déchets toxiques).